Les chants de la terreur nue montent du chœur des femmes dont les enfants furent pris dans les ruines, pris et jetés au loin. Dans l'horreur sans pareille de la bataille pour les âmes, la ville sans toits se ronge. Tous perdent. Le pire arrive pour que la peur ne cesse, le ravage est terminal et n'a de mouvement que le maintien de lui-même par lui-même autophage.