C'est donc l'été, à nouveau l'été rien ne peut l'empêcher. Nous voici dépassés, vaincus. J'aime l'été comme je le déteste, et les autres saisons me laissent sans avis. De mes épouvantables souvenirs d'été et de mes agréables, l'été lui-même est acteur. Pour mes autres souvenirs, la saison est indifférente. Je dois disposer d'une dizaine de souvenirs. Cinq ou six prirent place en été. Les autres ailleurs, et c'est sans importance.