Les Charlanta Bronca n’ont rien à voir avec le groupe de Meringué du même nom. Ils sont les membres uniques d’une secte unique où l’on joue aux osselets avec ceux de ses morts en proférant des mots stridents entre ses dents. Dans cette confrérie chacun boit encore tout le sang d’un autre quatre fois par jour, quand le sang de chacun, c’est de bonne guerre, quatre fois par jour est pompé jusqu’au dernier gama. On s’encomate et on se ressuscite à grandes lampées d’amour sucé, sur un fond musical douteux et un peu trop fort à mon goût.