samedi 29 septembre 2012

984 : vendredi 28 septembre 2012


J’erre dans les circonstances de ces jours passés avec Hippolyte, j’erre et me divertis de cette errance. C’est mon travail peut-être d’errer, de veiller à la frange du doute, de porter la certitude de mon achèvement jusqu’à l’incandescence irradiante (Joseph ?). Oui, être inachevée mais soumise à la finitude, voilà un travail ou du moins un champ d’expériences dans lequel devenir plus humaine… Joseph bouge dans mon ventre. Il me fait des signes. Il fait de moi un signe.