mercredi 19 septembre 2012

974 : mardi 18 septembre 2012


Hyppolite, ton regard me délivre. Ton regard est mon prince charmant. Sais-tu que dans tes yeux loge mon chevalier d’amour ? Non, évidemment, car la condition de sa présence en est justement ton ignorance. Tu as su tomber amoureux de tes propres blessures de la matrice desquelles est née mon chevalier d’amour. Viens maintenant, viens jusqu'à moi, que l’on devienne ce vent qui déplace les dunes jour après jour. M'entends-tu quand je me tais de la sorte ?