L’homme repose ce qu’il m’offrait comme un trésor, fouille derrière lui et me jette en même temps qu’un regard noir un rectangle de papier alu… sur lequel je me jette à mon tour, sans autre formalité car je devine qu’il exauce mon rêve du soir… Je déshabille les deux carrés de chocolat, en croque un bout que je laisse fondre sous mon palais en même temps que je m’assieds tout contre mon nouvel ami. Alors, sous les poils de sa moustache jaunie par le tabac s’amorce un doux sourire.