C’était il y a trois semaines… ou 15 ans. Il m’a de nouveau salué le lendemain matin quand on s’est croisé dans la cour, je lui ai proposé un chewing gum. On a parlé du temps qu’il faisait, m’a demandé si c’était pour ça que j’étais enrouée, je lui ai dit que non, c’était parce que j’avais trop pleuré : « Mon chat est mort ». Il a eu un sourire bref, s’est excusé, c’est juste qu’il pensait à Molière. « Il avait quel âge ? », puis il précise « ton chat », des fois que je croie qu’il parlait de Jean Baptiste Poquelin.