Hyppolite,
ton regard me délivre. Ton regard est mon prince charmant. Sais-tu que dans tes
yeux loge mon chevalier d’amour ? Non, évidemment, car la condition de sa
présence en est justement ton ignorance. Tu as su tomber amoureux de tes
propres blessures de la matrice desquelles est née mon chevalier d’amour.
Viens maintenant, viens jusqu'à moi, que l’on devienne ce vent qui
déplace les dunes jour après jour. M'entends-tu quand je me tais de la sorte ?