C’était se dire que cette semaine si peu entamée était presque la dernière avant les vacances, où nous serions enfin libérés, pour quelques semaines au moins, de longues semaines loin de tout, en distance, en temps, en pensées et dans ces mêmes pensées penser au temps qui, même loin, ne ne nous ferait pas oublier la célibataire solitude, double torture en ce monde, pour nous, de devoir travailler comme seul, au fond, mais pas tant que ça et puis, seul, certainement seul en revanche ici, devoir s’isoler car n’avoir pas eut le temps d’organiser les vacances, n’y avoir pas pensé complètement à l’avance, et simplement rien qu’un week-end ou deux entre amis, sans plus, et sentir cette libération teintée du noir, si peu profond, de la dépression, mais bien présent, et que seule la rentrée ferait oublier, et souffrir encore de cela : ne pouvoir être, jamais, complètement libre.