Très vrai, car le roman est issu du peuple. Oh, c’est
Moorea : combien de facettes a cette idée ? Merci, Pierre
(Corneille). Un point, c’est tout Ah… Ces androgynes qui flirtent avec le
dictionnaire, désespèrent-ils de feuilleter ce beau volume ?
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Au premier
abord on ne distinguait pas bien vraiment ce que c'était, on aurait simplement
dit un modèle en costume traditionnel – comme dans une quelconque vitrine, un
beau mannequin de cire aux courbes saillantes et aux formes bien dessinées.
C'est que ce qu'on en discernait était la forme, et non la fonction. Dès que
les spectateurs ont pris leurs sièges (avec, comme bien souvent, de nombreux
badauds et curieux qui s'amassent, autour, amusés ou intrigués) la lumière s'éteint.
Par un jeu d'interrupteurs sur le tableau de bord, l'homme en haut de forme et
costume noir officie aux commandes, et, en même temps que les orgues mécaniques,
le manège se met en place. Alors les bras de l'automate commencent de se
mouvoir d'abord doucement, puis se déplacent et s'élancent en une sorte de
danse, dont les mouvements saccadés se succèdent en un jeu d'arabesques
parfaitement exécutées. Tour à tour, dans ses cadences toutes de régularité, la
figure de cire s'avance ; son visage se penche, se tourne, s'incline à nouveau
vers l'épaule, vers le bas, puis, la main au menton, l'automate sursaute, cesse
un temps, et se fige, face à un public enchanté, et ravi. Et puis reprend...