Les Piliputiens se tiennent à une portée de main de nos
rêves. Ils en pâtissent parfois, l’été, quand on les prend pour des mouches. On
ne peut ni tout savoir ni tout voir. Et ils passent pourtant, ces soirs de
juillet bêtement pastissés par notre manque de discernement. Ils passent comme
passe juillet.