dimanche 4 juillet 2010

234 : samedi 3 juillet 2010

Il y a des bordures et des cadres qui bornent l’illimité, le chemin jusqu’à ses lisières est interminable. Leur dépassement aisé, il est rapide, il est indolore et imperceptible. L’illimité n’est pas ailleurs, il commence ici, plus près de nous qu’ici, il est circonscrit et minuscule, il est inépuisable.