Je m’arrête. J’espérais une présence, un bruit proche indiquant du vivant. Et maintenant je me dis : « la solitude n’est-elle pas plus sûre ? » Le silence me rassure. J’en sonde la profondeur. Qui me dit que l’on me voudrait du bien ? Je ne perçois qu’un « ploc ploc » au loin, qui m’indique qu’il y a là un couloir et à boire… peut-être une source souterraine et inconnue des êtres de surface. Ou une stalactite, un piège, car elle se détachera quand je m’y abreuverai…