J’arrive à l’arbre sans encombre. Comme prévu, un mur derrière, je n’irai pas plus loin ce matin. C’est drôle comme mes présomptions pessimistes se révèlent être fondées alors que mes espoirs sont le plus souvent déçus. Le tronc de l’arbre est âpre à ma joue qui s’y pose. Ses fruits seront-ils comestibles ?