jeudi 7 mars 2013

1065 : mercredi 6 mars 2013


L’astre a disparu, l’obscurité se fait, je mange quelques figues et je m’endors à nouveau au pied de l’arbre, priant pour que mon sommeil ne change rien. Je me réveille au milieu de la nuit. Le vent a cessé. Le ciel étoilé donne une idée de l’infini. La prairie est toujours là, mais les herbes de bruissantes sont devenues muettes. Dans le lointain, un hibou ou une chouette, ululement joyeux d’un oiseau en chasse.