J’arrive à la dernière intersection que j’avais croisée. J’opte pour le chemin de gauche. Sur les murs, des tentures pourpres tous les trois mètres, comme le couloir d’un château. Du lointain m’arrivent des effluves de brioche en train de cuire au four. J’ai faim. Mais plus j’avance, plus cette odeur se fait ténue. Persister. Il y aura bien quelque part sur ma route quelque chose à manger.